« APRR doit retravailler les barres de péage pour faciliter les passages sans contact : ça améliore la fluidité. Revoir le déversement des eaux. Améliorer les échangeurs d’accès. Travailler sur tous ces points qui sont des difficultés de circulation. Améliorer la signalétique. Pour qu’elles soient plus propices à la sécurité. Ce sont des investissements technologiques importants. C’est ce qui nous amène à leur prêter 150 millions d’euros en deux fois. »
Vous accordez des prêts à moyen ou long terme ?
« Le prêt est sur 14 ans. C’est aussi pour cela qu’APRR se retourne vers nous. Parce qu’avec la crise financière, c’est très difficile d’avoir des prêts longs maintenant en Europe. Il n’y a pratiquement plus que deux groupes financiers, publics d’ailleurs, qui sont présents sur ce marché : la Banque européenne d’investissement et la Caisse des dépôts et consignations. C’était aussi la raison d’une autre de mes visites à Dijon, il y a trois ans quasiment jour pour jour : c’était pour financer le tramway ! Lire l'article du Bien Public en entier.
Écrire commentaire